Alors qu’Orano a officiellement signé l’accord pour l’exploitation d’une mine d’uranium en Mongolie mi-janvier, sécurisant de nouveaux approvisionnements pour le parc nucléaire français, le groupe fait une nouvelle requête d’arbitrage international concernant ses activités au Niger. Après un premier recours contestant le retrait du permis d’exploitation de la mine d’Imouraren, ce second arbitrage porte sur la perte de contrôle de la SOMAÏR, active dans la région d’Arlit et dont le groupe est actionnaire majoritaire. L’entreprise française veut notamment « faire valoir ses droits » sur des stocks laissés sur place.